Paris - Utilisatrice depuis 2017
Stella CARPENTER, 28 ans, animatrice radio, télé et évènements. Toulousaine de cœur, je vis à Paris depuis 10 ans. Je dirais que je suis une globe trotteuse avant tout passionnée par mon métier !
Oui ! J’étais comme un gosse qui vient d’avoir le bac. J’ai appelé mon père et lui ai dit : "Papa ! Je viens de conduire un scooter dans Paris, seule !".
Dès qu’il est monté à Paris, il s’est créé un compte et on a roulé ensemble, il avait des étoiles dans les yeux, on a kiffé !
Récemment j’ai aussi embarqué une amie qui n’avait jamais vu ça, elle m’a dit “tu m’as régalée !”.
Lancez-vous ! Faites-vous confiance, faites confiance à Cityscoot, ça va vous libérer dans votre vie
Pourquoi tu roules en Cityscoot ?
Pour tout, tout le temps ! Je vis Ă 200 Ă l’heure, j’enchaĂ®ne les rendez-vous, les Ă©missions, les tournages aux 4 coins de Paris. La dernière fois, j’avais un tournage Ă Montrouge, j’étais trop contente de voir que c’était dans la zone. Parfois, je le prends juste pour me balader, le dimanche je vais dĂ©couvrir des quartiers en scoot. Ah oui ! Aussi j’aime trop le prendre en arrivant Ă gare de Lyon, je rĂ©serve alors que je suis encore dans le train.
Et sinon, tu te déplaces comment ?
Bus, bus, bus ! Pas de mĂ©tro je suis chlostro, au moins en bus je suis Ă l’extĂ©rieur. Et la trott’ j’ai essayĂ© mais c’est trop dangereux pour moi.
Ă€ ton avis, pourquoi les femmes roulent moins que les hommes ?
Le scoot est peut être un peu lourd. En tout cas c’est ce que me disent mes copines. Mais moi j’avais trop envie d’essayer et déjà quand j’ai passé mon BSR je rêvais d’une Vespa ! Je viens d’une famille de motards, je crois que je suis naturellement à l’aise en 2-roues.
Comment améliorer le service selon toi ?
Plus la zone s’agrandit, mieux c’est ! Je vois aussi la pochette tactile du tablier… Elle est souvent abĂ®mĂ©e, il faudrait la renforcer ou proposer un autre système. J’en rigole parfois aux feux rouges avec les autres utilisateurs. J’adore plaisanter avec les CityRiders, certains sont un peu sauvage mais je rigole quand mĂŞme, c’est hyper bienveillant !Â
Un message aux futures CityRideuses ?
Lancez-vous ! Faites-vous confiance, faites confiance à Cityscoot, ça va vous libérer dans votre vie et vous permettre de faire bien plus de choses que ce que vous pensez. Il y a une formation gratuite à la conduite si besoin. Vous allez vous rendre compte que vous en êtes capables. Ah et j’en profite ! Un message à tous les riders : tirez le tablier jusqu’au bout de la selle !
Polyvalente chez Cityscoot depuis 2020
Je suis Lucie, 27 ans, je travaille chez Cityscoot depuis bientôt un an en tant que polyvalente. Je suis originaire de Gagny en banlieue parisienne et suis passionnée de moto et de graphisme.
J’interviens en scoot partout sur le terrain pour tout type de situations : si un client oublie des affaires sous la selle, si un scooter est endommagé, ou encore pour récupérer un scoot à la fourrière… En ce moment j’aide surtout les équipes à l’atelier de Saint Ouen.
Un ami qui y travaillait m’en a parlé et j’ai postulé pour devenir polyvalente. Je suis la première et seule femme à occuper ce poste !
J’aime le fait qu’on soit vraiment utiles aux gens, quand ils attrapent leur train pile à l’heure grâce à Cityscoot.
Ça fait une différence dans ton quotidien ?
Non, pas du tout. Du moins dans les Ă©quipes, c’est pareil. MĂŞme si c’est un mĂ©tier physique, tout le monde sait que je travaille aussi bien que mes collègues. Ça m’aide parfois, au guichet des fourrières par exemple, il y a peut-ĂŞtre moins de tensions avec moi. Quand je suis de dos, qu’on m’appelle “chef” et que je me retourne, les gens sont surpris, ça me fait rire. En tout cas je roule et travaille aussi bien que les autres, ĂŞtre une femme ça ne change rien.
Qu’est-ce que tu aimes chez Cityscoot ?
J’aime bien l’accessibilitĂ© entre les gens, la confiance, je sens que je peux Ă©voluer en interne. Et je suis contente d’ĂŞtre sur le terrain, Ă l’extĂ©rieur. J’aime la surprise dans le regard des gens.
Et le service ?
J’aime le fait qu’on soit vraiment utiles aux gens, quand ils attrapent leur train pile à l’heure grâce à Cityscoot. Aussi ça me tient à cœur qu’on réduise la pollution en ville, de l’air et sonore. J’ai beau être motarde par ailleurs, c’est un sujet important pour moi.
Tu penses que Cityscoot est accessible Ă toutes et tous ?
Je ne crois pas qu’il y ait de différence. Le service s’adresse autant aux femmes qu’aux hommes. Personnellement, c’est le côté électrique qui me surprend le plus en Cityscoot (comparé à ma moto cylindrée 800 !). Je me dis pas du tout “ah tiens, c’est difficile d’accès pour les femmes”.
Nice - Utilisatrice depuis 2020
Je suis Julie, 31 ans, je viens de Nice et je vis entre Londres et Nice depuis 10 ans. Je suis danseuse, graphiste, responsable communication, tout ça à la fois ! Je suis passionnée d’art et de sport en général.
Je crois que j’avais galéré car je suis un peu petite, j’avais penché le scoot pour poser mon pied au sol (rires). En tout cas j’ai été très surprise par l’aspect électrique. On dirait un jouet ! Je ne connaissais que les scoots thermiques mais super ressenti, ça démarre bien, c’est pratique. Je me rappelle que j’avais mon père pas loin ce jour là et ça m’a rassurée
J’ai beaucoup moins peur de béquiller le Cityscoot que de faire un créneau !
Pourquoi tu roules en Cityscoot ?
Parce qu’il n’y a pas de galères d’assurance, de stationnement Ă payer, d’essence… C’est simple. Dès que je suis Ă Nice, c’est mon petit plaisir, ça me permet de bouger en ville plus vite. Aussi en ce moment, avec le Covid, ça m’évite de croiser trop de monde dans les transports parce que quand je suis Ă Nice c’est pour voir mes parents, mes grands-parents. Une fois c’était trop pratique pour un rendez-vous Ă l’hĂ´pital pris depuis longtemps. J’étais Ă la bourre et c’est sĂ»r que je l’aurais loupĂ© sans Cityscoot.Â
Et sinon, tu te déplaces comment ?
En tram et Ă pied, je marche beaucoup. Mais si je pouvais j’utiliserais que Cityscoot. Des fois je me dis : “arrĂŞte de faire ta riche, prends le tram !” (rires).
Ă€ ton avis, pourquoi les femmes roulent moins que les hommes ?
C’est plutĂ´t rare de voir des femmes sur des scoots et ça arrive rĂ©gulièrement qu’on me pose des questions au feu rouge, “est-ce qu’il faut le reposer Ă une station”, “comment on s’inscrit”… Je pense que les femmes associent peut-ĂŞtre scoot et danger. Elles se sentent plus protĂ©gĂ©es en voiture. Moi j’ai beaucoup moins peur de bĂ©quiller le Cityscoot que de faire un crĂ©neau ! J’ai plus de flexibilitĂ© en scoot, ça prend moins de place, je ne me sens pas en danger sur la route. Mais je reconnais que pour les petits gabarits, le stationnement peut ĂŞtre un moment sensible. J’ai pas envie qu’on me voit galĂ©rer quand je me gare. En tout cas autour de moi je suis un peu l’exception Ă rouler en scoot mais j’essaie d’inciter mes copines.Â
Comment améliorer le service selon toi ?
Je trouve que l’appli marche très bien, c’est fiable. En revanche, ça serait super pratique d’ouvrir de nouvelles villes autour de Nice, mĂŞme si ce n’est que le centre ville ou la plage. Sur le scoot, ce serait cool d’avoir l’info quand il se recharge et qu’on ne peut pas le louer. Une fois j’ai terminĂ© une location et voulu reprendre le mĂŞme scoot 10 minutes après, impossible…! Pour vous adresser plus aux femmes, vous pourriez faire des partenariats avec des marques fĂ©minines et orienter vos communications. Peut-ĂŞtre sortir un peu du bleu qui est toujours connotĂ© masculin ?Â
Vous gagnez Ă ĂŞtre plus connus ! Cityscoot, c’est pas le moins cher, mais c’est le pas le plus cher non plus. Insistez sur les initiations gratuites et le cĂ´tĂ© français.
Un message aux futures CityRideuses ?
Ă€ celle qui hĂ©site, je dirais : “arrĂŞte de rĂ©flĂ©chir, rends-toi la vie plus facile”. Pour moi, c’est logique d’utiliser Cityscoot. J’ai peut-ĂŞtre Ă©tĂ© rassurĂ©e car j’ai eu un scoot Ă l’adolescence mais il faut savoir se lancer. En Cityscoot la mobilitĂ© devient super pratique.
Merci pour l’aventure que nous vivons ensemble 💙